Nous sommes dans la dernière ligne droite de la négociation de la prochaine PAC à Bruxelles. Après trois ans de prix du sucre sous les 400 €/t, plusieurs milliards d’euros transférés de l’amont vers l’aval, nous portons la conviction que rendre le sucre éligible à l’intervention est un outil fondamental pour stabiliser notre marché en cas de surabondance exceptionnelle et redonner des marges de manœuvre à nos sucriers, dans leur négociation commerciale....